Fausse Note

Publié le par bennychoux

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FAUSSE NOTE

 

Un spectacle tout en mesure de la Cie des Z’empalmés et de la Cie Miroirs de Poche

 

 


♪       La portée : L’éternelle remise en cause des relations humaines au travers des rapports d’amitié, de jalousie et de pouvoir entre deux « Augustes » dont l’un se prend pour un clown blanc. Cela pourrait se résumer à la question « qui va porter le chapeau ? » (Le grand chapeau haut de forme du Maître du jeu !). Mais en cherchant bien, on peut y trouver une allégorie de la confrontation père-fils au moment du délicat passage de l’adolescence à l’âge adulte, ou comment un fils apprend peu à peu à ne plus se définir par rapport au père en imposant (douloureusement parfois) sa propre individualité malgré les réticences paternelles. Il s’agit donc d’un combat entre gens qui s’aiment, et ce combat doit déboucher sur une relation transformée, basée sur l’égalité, la confiance, la conscience et l’amitié.


 

 

♫      La gamme : Jeu burlesque, contrastes divers entre les deux personnages, magie comique, jonglage (balles, couteaux, torches), équilibres d’objets, bruitages, succession de gags et de contrepoints, comique de situation, de répétition… en complet décalage avec le sérieux du thème.

 

 

♪♫    La partition : Dès l’apparition de Guzo et Luigi, on comprend que leur spectacle ne va pas se dérouler comme ils l’ont prévu. L’élégant Luigi (le père) donne l’apparence d’être à l’aise sur scène et le rondouillard Guzo (le fils) masque sa timidité derrière des nez de clown qu’il chausse à répétition, ou qu’il offre au public pour faire ami-ami. Luigi s’empresse de les lui retirer, mais la réserve de nez de Guzo est (presque !) inépuisable. Quand Luigi, qui se sert de Guzo comme d’un assistant, fait une démonstration technique, Guzo s’empresse de la gâcher, soit par des ratés sur les accessoires, soit parce qu’il est si impressionné par la prestance de Luigi qu’il veut l’imiter : « J’vais l’faire… ». Les catastrophes se succèdent, mais, étrangement, c’est Guzo qui tire le mieux son épingle du jeu. Il est plus nature, moins coincé dans les apparences que Luigi qui, ne supportant pas de perdre la vedette, le rembarre de plus en plus. Il finiront par se battre en duel de magie et de jonglage, à la façon de Merlin l’Enchanteur, et termineront fâchés… avant que Luigi et Guzo ne comprennent qu’ils ne sont pas ceux qu’ils croient être et qu’un petit accessoire enfin accepté ne les rende de nouveau complices, pour une ultime blague au public.

 

 

♫♫   Clef de sol et queues de pie : Le décor, assez sobre mais de bonne tenue, est constitué de rideaux de fond colorés symbolisant l’univers du spectacle. D’un côté une caisse claire et une cymbale, qui vont rythmer les prouesses techniques, de l’autre une table et une chaise, dont l’utilité ne sera pas dévoilée ici. Les costumes des comédiens sont contrastés en noir et blanc. Quelques fleurs à usage variable parsèment l’espace scénique, ce grand champ… d’expérimentation.

 

 

♫♪♫       Les mélomanes : Spectacle jeune public et tout public.

                                             Jauge : jusqu’à 350 spectateurs.

                                                      (ce nombre peut être augmenté en fonction du lieu et des conditions techniques)

 

 

♪♫♪♫     La mesure : une heure sans entracte.                                      

 

 

♫♪♫♫          Les instruments :

 

            Lieux de représentation : tous lieux intérieurs, ou extérieurs protégés

            Espace scénique : 5m de large x 4m de profondeur minimum, surélevé de préférence.

Hauteur sous plafond de 2,50m minimum.

Electricité : au minimum : 2 prises de 220V sur 2 circuits séparés.

Lumière : autonome (lieux équipés, nous contacter pour implantation et conduite lumière)

Son : autonome. Les comédiens sont amplifiés par micro HF. (lieux équipés, nous contacter pour recevoir une conduite son)

 

♪♫♪♫♪♫      Les duettistes :            

 

                     Guzo est interprété par Bernard Revel, de la Cie des Z’empalmé. Magicien comique à l’origine (1er prix national de magie comique), se produisant aussi bien sur scène qu’en rue ou en cabaret, il suit de nombreuses formations de jeu clownesque (avec Carlo Colombaïoni notamment) jusqu’à se créer un personnage de clown moderne (sans nez rouge ni costume traditionnel), timide et envahissant à la fois, expert en numéros de magie que sa fausse maladresse lui fait parfois dévoiler.

                     Luigi est interprété par Jean-Luc Roig, de la Cie Miroirs de Poche. Initialement jongleur, échassier et acrobate (donc comédien de rue), il suit des formations d’acteur burlesque (notamment avec Marc Proulx, du théâtre du Soleil) qui le conduisent à créer des spectacles de théâtre tout public dans lesquels il inclut ses techniques de cirque au service des histoires qu’il raconte.

 

 

♪♫♪♫♪♫♪    Morceaux choisis : (extraits de presse)

 

« ˝Drôle, poétique, énergique, rafraîchissant, imprévisible et tendre…˝ ce sont quelques remarques des spectateurs au tomber de rideau de Fausse Note… Ces deux artistes n’en sont pas à leur coup d’essai… leur expérience professionnelle, leurs techniques artistiques et leurs physiques contrastés se complètent à merveille pour donner un spectacle varié, drôle et rythmé… Contrairement à ce que son titre indique, (un) spectacle sans fausse note… »

 

                                                                                                                             La Renaissance. 20/04/07

 

« Ils ne sont que deux mais ils occupent toute la scène. Jeux corporels, jeux tout court, rien n’est dit mais le message passe. Parmi les enfants, des rires cristallins s’élèvent en cascade. Les adultes ne sont d’ailleurs pas en reste… Les gags se succèdent … on rit de bon cœur car c’est bien fait. Mille petits détails sont soignés, bien vus. Le contrepoint entre les deux compères fonctionne parfaitement. Les gestes, bruitages, musiques illustrent à merveille l’histoire… Le comique de situation de ce « cinéma » relativement muet est du meilleur effet… et les exercices d’adresse suscitent l’admiration de tous. Un « duel de magie » laisse Guzo vainqueur de cette jonglerie en mode majeur, drolatique, décalée, incisive, percutante, tendre et poétique… »                                                                  

 

                                                                                      Fabienne Croze. Le Journal de Saône et Loire. 28/04/07

 

« …Malgré leurs différences, les compères étonnent par leur complicité dans le comique de situation. Le duo aime manier l’effet de surprise. Chaque scène prend toujours une allure inattendue. Et dans ce show, le public n’est pas en reste. Il participe au spectacle et joue même le rôle d’arbitre lorsque les conflits animent les relations entre les deux personnages… (ce duo) s’illustre également par son adresse lors des tours de magie et des séances de jonglage… Rien ne les effraie pour épater la galerie. Impossible de s’ennuyer pendant une heure de spectacle ou le duo enchaine gag sur gag. »

 

                                                                                                                                                             Le Berry Républicain. 19/01/09

 

Publié dans les spectacles

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